1/20/2012

l'oxygène tant et tant emmagasiné les pupilles s'explosent s'exposent s'entrechoquent violence contes mythiques comme on oublie comme on aimerait prier mais les maux de genoux obligent et la dérive des approches et les rimes sous les yeux les miennes sont bleu et toi combien coûte ton sourire comment tu sais approcher les îles et les montagnes elles je sais pas j'ai ouvert le journal et sur mes doigts y a eu le sang et j'ai eu peur et toi dis-moi parce que j'ai donné les verbes le dénominateur la fugue obligée les vagues courbes

reste encore s'il te plaît

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