6/27/2011

rien de change, sinon l'appareil!

j'aimerais tous vous souffler l'air qu'y a dans mes poumons. 
Mais y aurait risque d'évanouissement trépas. Alors. Nous.


Irons dîner.

Oh. J'ai écris à une amie, que je me devais de faire semblant d'être bien et de ne dire que les belles choses m'arrivant, car quand même, il y en a tout plein de belles choses. Elle a dit...Et c'est bien la première qui me le dis..."Si tu vis quelque chose, et que ça t' habites...tu DOIS le dire, en parler, voyons, je suis là pour ça."

God. Ça m'a fait du bien.

Je ne suis pas de ceux qui font semblant. Si je ne te pif pas, je ne te cause pas.  Un point à la ligne. Rien de plus, rien de moins. Comme dirait mon ancienne patronne; "What you see, it's what you get."  je suis conditionné à être transparente. et si je choisi de t'écouter man, bien m'a t'écouter jusqu'aux portes des ténèbres, et j'aurais même pas peur parce que j'ai décidé de t'aimer.

Un espèce de love planétaire universel.

Sauf si tu me fais chier. qu'intentionnellement tu me frappes la joue.  Je ne tends pas l'autre. No way.  No fucking Jesus law.  Et, ma patience est immense, comme mon love machin. mais je ne suis pas aussi folle que ça!  Et, à peine le pied dans la quarantaine, que je me rend compte que ça ne passera plus jamais. Never!  intimidation, manipulation, sermon; non merci!

bon. oké. me reste juste à le dire. heu. ouin. la meilleure partie, celle où je chie dans mes petites culottes!  mais bon, je vais attendre. c'est pas aujourd'hui cette putain de rencontre là.  Elle est même pas sédulé. puis je n'y serai pas seule. je vais juste, continuer à me parler.

Me semble qu'on a une bonne communication moi et moi.

*oh et si je peux dire quelque chose à mon papa, là-haut, deux secondes... "Hey! P'pa! Ça ne te tentais pas de me dire que j't'ai belle, pis bonne pis capable quand j't'ai p'tite ?" ...Histoire que je trouve que je suis belle avant mes 30 kek ans. parce que je me suis trouvé moche tout ce temps.

6/21/2011

quelques lignes

parfois l'égo prends toute la place, puis la machine se détraque, quelque part entre des envies puériles et des guéguerres vaines; on mise par abstraction de nos valeurs sur des gestes qui sur coup enterrent les cris donnent impression de pouvoir remplir le vide donne l'avantage numériquement à la limite chimiquement mesurable d'être plus grand.  


Z'appelle ça, le transfère de souffrance.


le problème, c'est de risquer de se perdre.


Toujours, regarder à la source.  


Je sais ça fait new age, mais, derrière tout émotion, y a un  besoin...S'agit de creuser.

ok. Alors, s'il vous plait. n'entrez pas dans la danse, y a du verre partout par terre.  

et que sont nos égos face à ce qui est tellement plus gros, plus beau, plus important...La vie.


Venez contempler l'eau 'vec moi.



6/14/2011

compulsion compensation ou la bouche pleine de chocolat...

l'étau le vide le caramel l'arachide le plein le sucre l'espèce en voix d' instinction l'hypocrisie
no more compassion
rires flambés nucléaire war besoin boire vide pastel crier l'absinthe  toujours l'hypocrisie
où est passé toute la supposée reconnaissance dans les oubliettes ? dans tes chiottes ?
Les regarder dans leurs tâches de tout les jours comme tout les jours
devinez quelle oreille détournera les yeux quand ce sera eux
goût de faire pareil
des envies de rendre l'appareil
des pensées de partir
je sais que les derniers textes, les derniers détours imbibés des mêmes écrits.

C'est la chansons qui joue alway's in my mind.


on se demande pourquoi les gens sont tristes, pourquoi ils se sentent vides. Pourquoi tout va de travers. pourquoi y a autant de souffrance.  puis on essaie de bien faire. on essaie de faire le bien. la programmation différente de celles des appareils déjà établies comme normes, puis on se pète la gueule plus souvent  qu'autrement.

j'ai plus faim. le chocolat me tombe sur le coeur.

Je ne veux pas entrer dans le jeu.

puis je vois ce qui joue ailleurs, dehors, dans la VIE et je vois que c'est pareil.  On coupe les dépenses pour les plus démunis, et on investi dans du matériel.  Le paraître. au détriment de l'être.  et quand je vois une collectivité d'inquiété de son fric; je me demande moi, qui va s'inquiéter de la dérive des âmes.  

...croire au diable, je me dirait qu'il se fait bien des âmes ces temps-ci.

6/02/2011

Oublions tout ça.

Je n'arriverai jamais à être, à faire, à vivre comme tout le monde, comme la majorité du monde, comme ceux qui font semblant, parce qu'en fait PERSONNE (je crois) n'arrive à vivre comme du monde comme tout le monde comme taire les envies et vivre de faire.

Je n'y arrive pas. Je peux pas (je ne sais pas) (je ne veux pas) avoir un mode de vie équilibrée avec un horaire stable et des repas entièrement sains comportant tout les groupes alimentaire; servis à des heures fixe, dans une cuisine aseptisée dans un logement parfait, avec des enfants-sages des enfants gagent que je suis une parfaite petite maman. Je n'arrive pas à bouffer la merde qu'on me sers au précepte de la hiérarchie hypocrite, les violences-précellence qu'on m'oblige à prendre, les silences-couperets, les regards accusateurs, les sous-entendus qu'on devine à tue-tête.

Je sens que je fite de moins en moins.

Je vieilli.

Et j'essaie de sauvegarder ce que j'ai de meilleur. Mais.

Je n'arrive plus à gérer les couches de sources d'anxiété qui se foutent de ma gueule en se pitchant sur moi, une à une, demandant son moment de gloire pendant que moi, tout doucement je perds les pédales et engueulant mendiants sur ma rue et chauffard.

Je me surprends à avoir envie de Xanax. De "végétitude" aiguë dans la cour allongée dans une chaise longue, avec le vent dansant sur ma peau et le bruit des feuilles flirtant avec celui des oiseau. Pas de livre. Pas de musique. Le silence-orbite. Mes yeux rivés au temps qui passe.

S'avez, je me bats ongles et dents, vent et sang. Je fais valoir mes droits. Droits à la différence, à être celle que je suis avec mes forces et faiblesse. Essoufflant et éreintant. de ne pas se fermer la gueule et dire haut et fort ce que tant et tant étouffe sans cesse. Car je ne pense pas être seule à souffrir... À vouloir vivre...

J'arrive pas à faire semblant que je vais bien.

Mais parfois, je me surprends et. Moment flasque où je pense ne plus pouvoir. et à ce moment, et seulement qu'à ce moment et d'un souffle, je me redresse et cherche moyen sauvetage. je ne me laisse pas emporter. Ne pas abandonner et continuer. Syndicat, psychologue, soutien des collègues, mon chéri, les amis, les enfants...Je me sers. Et, pour vous...Pour toi...

Je continuerai. n'ai crainte. je continuerai.



(Maudite vie montagne russe, je vous ai dit je souffre de vertige.)


(je ne vous ai pas parlé de la paperasse. Des fonctionnaire de l'âme. et encore une fois je sens trop que je ne dis pas vraiment. qu'à côté de frôle le message. que je tais un peu ma colère.)

Skinny Puppy- Cult

A lasting moment
To hold onto
With regret
The scent of time
Tried and tested
I never noticed
The phantoms of her mind

Cresent moon I'm cutting through
Paste up warnings fill the sky
Smoking embers I remember
Time and time again to try

To live I light
To sink within her
I think of light
Time to blame
To borrow from your past
Elapsed
Collapsing

She's not insane
She's gone insane

And if the root of silence pulls me off
And love is lost not from my heart
I sit upon this throne that throws me off
And she falls backward to the floor
And forward to the back

She says elapses all my truth again
She's the one I live for
I live alone

Burns inside horilbly
She lifts me to the spirit
Burns the darkest hours
My corrupt brain is hurting

Once again the door lies quiet
Left alone
I'm thinking of her
Sitting the burning clock of time