12/20/2011

satisfaction

sentir qu'une distance se creuse/fossé.

d'être si proche et si loin/les destins entrecroisés.

l'habitude/presque ennui. d'ouvrir les pages, puis de ne plus s'y retrouver.

revenir et se masquer/de moins en moins. pas envie d'être.

drôle/spirituelle/intelligente/plaire/faire des courbettes.

s'approcher dangereusement d'être soi.

à fleur de peau. s'enivrer de cyclones/fermer les yeux/goûter.

rigide/souple. rebelle/conventionnelle. anarchique/consommatrice-compulsive.

je fais des fautes. et alors ?

je ne te plais pas. va-t'en. je ne retiens plus.
 
sentinelle devant la porte des pas perdus. je veille.

je ne. partirai plus au pas de course. entretenir des feu de brindilles.

des étincelles vite ravis par le feu. de prairie plus loin.

je sais. peut-être.  je choque.

je sais. certain. je suis plate.

être si près de moi. si loin d'elle.

les deux dernières années. entre paradis et enfer.

des allées/retour apprentissage/sage.

je ne joue plus l'hystrionique.

je m'ouvre cosmique. je met mes dr. Martens allégoriques.

les papillons/arabesques. comme tes mots. enroulés autour.

dédales salés à souhait devant toi. 

mon mythique dans l'apesanteur de nos corps.  

je savoure le sucré sans l'arrière goût amer.

ça te plais.  moi oui.

moins de masques/plus de tatouages.





je ne joue plus à faire semblant. je le fait pour vrai.

Je sais; je devrais retenter le papier.

12/19/2011

initiation




au boulot, les collègues me trouvent soit courageuse, soit vraiment folle.  les amis comprennent et contemplent, l'amoureux aime.  

Maintenant ce bras que je trouvais gros. je le trouve beau!

(reste à colorier)

Ps. Je voulais écrire un truc sur; l'initiation, être soi-même à nouveau, la vie après 40 ans, des limites qu'ont établies et celles qu'on dépassent, les résolutions, les fêtes, l'amour, le laid, le beau. T'sais, comme d'hab!   Mais, je me sens lâche, éthérée, un brin en dehors de mes baskets. Je pense à ton cadeau, à celui que je vais t'offrir. aux vacances qui arrivent tellement bientôt!

et y a ça qui joue dans le Mac ici.

Ça me donne envie de feu dans la cheminée, de tempête de neige et de toi, tout nu, tout près.

12/06/2011

écrire de l'intérieur.

Je ne suis pour. je ne suis contre. je vague à quelque chose entre la constatation la vexation le chagrin la révolte. j'ai envie de crier toutes vos peurs tous vos préjugés qui grugent tels des mites le tissus social.

J'ai eue envie de m'ouvrir un autre blogue histoire de

raconter mes frustrations/toucher couler des paquebots pixel.

noir. blanc. où j'ai bien pue mettre mes pastels?

retourner sur wordpress ? hm. ça fait longtemps.

recommencer. comme un nouveau départ.

fuck it. j'ai laissé tomber/ à quoi ça sert. l'idée n'a tenue que le temps de me faire un shampoing/mes cheveux sentent bons.  j'ai laissé faire. paresse ? je ne crois pas. je me suis juste demandé ce que ça ajouterai à l'univers/conscience universelle.

bah. oui. des fois, ça me dis moi, la conscience universelle.

Quand j'avais 20 ans, c'était au coeur de toutes mes aventures la foutu conscience universelle.

oui oui. je te jure.

Qu'est-ce qu'on en à foutre de mes sphincters/frustrations.  Les reflux et reflux de mes marrées/j'en ai assez. 

(je tripe à faire des "slash")

je ne sais plus pourquoi j'écris. je trouve mes idées flasque/mon ventre aussi. et en même temps, j'arrête pas d'écrire dans ma tête/et j'oublie le concept. je me refuge dans l'idée. le sentiment. l'étang/les poissons. moins sur le papier et de plus en plus dans mes pensées.  moins sur terre/plus en plus se taire.

Et si les pensées de tous s'échappaient des têtes pour vivre à quelque part. c'est surement là. la conscience universelle. et si tout les papillons s'unissaient... ce serait peut-être là, le foutu dome.

et je crois que ces temps-ci il doit faire assez froid et noir dans la conscience universelle (parce que même si je ne lis pas les nouvvelles/écoute pas la télé; je LE sais.

je me dois de penser clair et chaud, de voir plus loin/de rejaillir des iotas de mauve. et ce même si mon corps entier me fais parfois si mal que je suis fatigué d'habiter aussi fort à l'intérieur de muscles et de chair. 

je pense encore à bien aiguiser mes crayons intérieurs.

je me sens toujours responsable de décorer l'universelle. conscience.


-17h02. Juste avant de quitter. Hé oui. je voulais intituler cette petite chose : "les-différences-qui-offensent-soutrager". Mais avec le recul. Presque 1 semaine entre le désir d'écrire, et le fait de. ma pensée a muée.  j'avais pris la résolution de choisir mes combats. et je vais laisser à d'autres le soin de s'offusquer aujourd'hui. mais ...

néanmoins, j'ai eue envie, aujourd'hui. d'encore plus fort vous aimer.

11/08/2011

"tu embellis le monde à chaque fois que tu quittes ta maison."

Merci m'sieur Hell pour ce commentaire!  

En fait. J'ai menti. Bah! Pas un gros mensonge. Juste un peu de jeu de l'autruche ici et là.  juste un peu de déni comme il se doit, histoire de se faire des "accroires".  mais pas des méchants mensonges.  Je me suis presque convaincue que je devait cesser de vouloir sauver le monde, quand c'est une pulsion primaire chez moi. de sauvegarder l'humanité, de faire pousser des étoiles din yeux, de défaire les noeuds au coeur des valeureux. je ne veux pas tant changer, mais savoir faire tout ça sans me blesser.

Je suis un être sensible. bienveillant. empathique. j'aime faire plaisir. j'aime me sentir responsable et être une partie de la solution. je vois au delà des barrières physiques et je suis nulle en mathématique.


À moi. d'apprendre.

musique!


11/03/2011

he give me love, love, love, love, crazy love...

J'écris de moins en moins, peut-être parce que les gens heureux n'ont pas d'histoire.  Peut-être que j'accroche doucement des petites lumières colorées dans les sombres couloirs récemment creusés par l'anxiété, que je marche de plus en plus confiante à ses côtés, et que je sais que fuir est impossible mais que regarder dans les yeux me rends convaincue que ce chemin c'est le mien.  Je ne m'excuse plus à tout propos. C'est beaucoup pour moi. de prendre de la place. ma place.

Et les comêtes que tu m'allument dans la tête, dans le ventre, dans tout mon être nourissent les vagues torpeur des jours volcan. Toi. Moi. Les beaux enfants. Tellement grands, aujourd'hui.

Alors. Je termine par cette chanson. Qui me hante ces jours-ci.



CRAZY LOVE (Van Morrison) cover by Sarah Blackwood




10/06/2011

l'essence même des mots palliatifs
à même le pommeau de douche
entre mes cuisses dédales et cris marins
culture urbaine des sons à demi clos

je transporte toutes les promesses du monde
à même cette sculpture informe qu'ils nomment
corps. astral. tête. vision. devoir.

9/25/2011

les croyances, puis la puissance. Partie 1.

Je croyais avec des raisons encore connus de ma psy et de moi, un peu dans le déni. que mystiquement je croyais que je me devais de tout écrire, de tout dire et de tout parcourir, que je devais avoir la clé, être la solution, ouvrir la porte et la tenir pour tout ceux qui pour X raisons étaient  manchos, aveugles, pauvres, misérables, ou tout simplement trop dans la lune pour voir qu'il y avait une porte.  

Puis, je demeurais sur place. observant chaque passant comme pièces d'un mystérieux présage, d'un tout organique, d'une presque île promesse d'une amélioration de mes capacités relationnelles. et je tombais en morceaux, car d'autres suivaient, un flôt infni d'anémones, un vaste monde irradiant de besoins engouffrant dans un potage douteux, mes besoins mes rêves MOI. 

Moi.  puis les notes.  des notes au début étouffées par les murmures tout autour.  dans l'autobus. puis quand je m'asseyais  contemplant ce qui était un début de bien être inscrit dans un monde de quelques mètres par quelques mètres, 3 grands arbres, de la terre, puis des morceaux de ciel que je dévorais avec la rage d'un enfant n'ayant pas appris que demain existe, les notes jaillissaient de mes iris et de mes doigts.  la voix dans ma tête, plus posée, moins allarmée, rien ne me poussais alors par en avant urgemment, juste réaliser que

Demain vient toujours.

et que depuis quelque temps demain est accompagné de croire. mains dans la mains.  

Je garde un peu plus mes mots pour moi.  je ne tiens que partiellement le monde sur mes épaules, érigeant des ponts que là où je veux, je reste éveillé à ce qui a besoin, mais je ne me sens plus qu'une partie de la solution, et je laisse le suivant tenir la porte pour d'autres, je ne me précipite plus, j'observe.  j'attends le bon moment.

Je me fâche encore. je m'indigne toujours.

reste à voir; vers où je lâcherai mes cris. et ce que j'en ferai.

9/06/2011

petit quelque chose pour toi.

ça va fait 2 ans que tu es dans ma vie.  me révélant aux confins des multitudes étoilées crises de larmes quand frappe le love entre les cuisses et désirer gémissements les voiles bien tendues frôlant les récifs d'eau de mer salée.  me dévoilant riches effluves salines et sentir exploser la saveur de tes épices entre mes lèvres. doux et violent châtiment, salvatrice opiacée. 

2 ans et je ne cesse de contempler l'homme que tu es. fascinée par la chance infini que j'ai.

de t'aimer et de savoir que tu m'aimes.

8/30/2011

retour de vacances

Après un mois de vacances, revenir au travail, se réinstaller dans une routine, affronter de nouveau la tempête laissée derrière, se greffer un sourire dans la face...Et la fin août s'ouvrant sur un septembre fébrile, l'automne à grand pas avec l'ouverture des négos, la fin des rénos, planif des ateliers, programmation des activités.  La rentrée des garçons, tous au secondaire. La vie amoureuse de monsieur 14 ans.  Le compte en banque qui se vide drastiquement tout comme les feuilles des arbres qui ne tarderont pas elles aussi à faire de même.

Et moi.

Moi et ma cour qui se farde de dalles de patio, moi et la satisfaction de vivre exactement là où je souhaite être dans ma vie personnelle. Avec des petits plans. oui j'ose. un peu penser à ce que je veux. à inscrire mes rêves quelque part dans le concret. Ce que je peux. ce que je veux.   La quarantaine bien installée sur mon visage d'amoureuse volcanique, sur mes mains de tisseuse de bonnes aventures, dans mon cœur d'intervenante surprenante, dans mes yeux d'enfant qui enfin croit qu'elle à le droit.  Je sais que j'ai le droit de construire mon bonheur pour moi. de penser à moi. de faire des choses pour moi. de ne pas tout calculer en fonction des autres. et je fais le tri maintenant. j'essaie le plus possible de ne pas porter ce que ne m'appartient pas.  Je vis ce que je veux vivre.

Et moi.

Avec mes amours, qui me donnent la force de continuer. qui me reflètent l'important. j'ouvre les enveloppes, je prends les doux moments, je ne fais plus le saut quand ça cogne à ma porte.  je retrouve une certaine paix. 


je rêve de camping car, de voyage, avec de moins en moins la peur des années qui passent.

8/14/2011

arrivée juste au milieu

deux semaines sont passées. en reste deux. l'éthique passe son temps à tourner en rond dans ma tête, et le rêve à se barrer avec mes jambes pour aller à Utopie land.  l'installation des fragiles prise de tête se font dociles dans un cahier noir offert par Anne-Marie, et le temps qui se presse compresse, me joue des tours et je repeat after me, encore. il faut que je me rende au moins à Go, histoire de ramasser le 200$ et me remettre à jouer.

8/05/2011

dommages collatéraux

ça y est.  j'ai eu mon dernier rendez-vous avec la psy.  j'ai pu lui dire ce qui ce passe dans ma tête. ce qui hante les couloirs incertains les jours de nuageuses périodes. comme celles des 2 dernières semaines, où les jours entre mon ovulation et les règles ont plutôt été tumultueux.  (oh! je suis vraiment en train de dire ça, ... God.)  j'ai crue être enceinte, puis j'ai pensée ça y est je deviens dingue. et pourquoi y a toujours cette voix, supperposée au paysage, cette voix qui examine, élabore, analyse, dillapide, pète la gueule aux murs, puis renverse la vapeur. des fois elle fabrique les plus beaux poèmes, elle se fait sociologue, mais une chose est sur, elle me renferme de plus en plus sur moi-même. parce que je trouve rarement les mots pour dire, et que l'attention des poissons, est pleine de bonne volonté mais. voilà.

je suis toujours là. à réfléchir sur moi. les autres. le cycle. ce qui tourne, ce qui empêche de tourner. ce qui est immensément beau, ce qui fait pleurer.

je suis en train de comprendre ce qui s'est passé dans la tête de mon papa, quand autour de ses 40 ans, il a décidé de tout laisser tomber en ville et aller s'installer à Lac-des-Écorces.  Et, je me surprends à m'i ndigner de la jeunesse, (ce que tout parent, adulte, wathever...fini un jour ou l'autre à faire)...En disant les fameux:  'les jeunes d'aujourd'hui' & le 'dans mon temps'.
aussi, j'essaie de voir en perspective. puis (j'en ai parlé avec ma psy)... ce qui permet à un individu d'évoluer et d'être bien, est entre autre sa capacité de s'adapter aux changements (Citons Languirand).  Et les choses changent de plus en plus vite (quoique papa aurait dit la même chose, à mon âge), ça va de plus en plus vite, et le malaise grandit.

je dis tout ça. mais je suis la pire!

je n'arrive pas à prendre le train vers ce Vivas Las Végas, terre promise. je reste avec en tête le sacré d'antant. puis, je sais qui est à blamer dans tout ça, ce n'est pas la société comme un empire extérieur à notre personne; nous sommes parties de ce tout. nous sommes éléments de changements, ou de résistances.

Je dis parfois à la blague, que mes ados sont tranquilles parce que je prends toute la place, parce que je suis encore tellement ados!    

Hier, chéri trémas expliquions à monsieur (dans 2 jours) 17 ans, qu'il ne faut pas rire des gens qui sont malheureux et qui souffrent de troubles de santé mentale.  Qu'il faut les regarder avec humanité. 

Où est rendue l'humanité ?

dans tout ces changements, à travers tout cette souffrance, ces peurs, j'ai peur que l'on échappe ce qu'il nous reste d'humanité dans l'fond de nos poches, et que l'on se sauve tous dans l'bois, avec nos espoirs et nos rêves. comme papa l'a fait jadis.

Je crois que grandir ce n'est pas seulement règler les factures, c'est aussi accepter que nous faisons partie de la société,  et faire des gestes qui peuvent changer les choses, du moins rendre la vie plus douce aux gens alentour.


7/28/2011

questions.

À quel moment se tairont les cris tout autour de mon ventre tourmenté ? 
Quand cesseront les tourbillons de vertes nausées contre les hanches vermeilles de mes blancs soupirs ? Quand bien même je tord mon visage fragile de mièrve plaisir, 


l'absolution reste intacte et malgré les joies titubantes entre mes cuisses et nos salaces envolées, 


je reste imbu d'une vaste plaine fatigue.


À ma porte cependant. à 1 jour et demi. 


repos bien mérité.

7/24/2011

n'importe quoi.

en sourdine me viennent les mots états générés de couleurs et de 
blasphèmes autoroutes entre le circuits neurologiques
absence de métaphysique ennuis. 

comme le rêve noir et blanc d'une sereine enfant 
supperposition douteuse d'une reine déchue 
 stupide possible avenir.  

La plasma stealth 
semblant et s'arrimer
dissimuler fragiles plusieurs
massives allergies
décompte palmarès 
t'as bien été là tout ce temps où oubliant
Scientific Research


qui je suis de quel bois je me chauffe

que déjà 

État  laconique plutonium. l’armageddon électronique est.  





7/13/2011

quelque chose qui ressemble à un texte d'opinion sans solution. OU juste essayer être heureux; est-ce rendu trop new age ?

À la suite de mûres réflexions, d'expériences de groupe, de sentiments d'irritation, de sentir que quelque chose cloche, mais. Ne pas réussir à mettre le mot juste, je prends avec vous, le temps de mettre en mots l'ébauche d'où j'en suis avec ma réflexion.  j'ai aucune solution, et encore une fois, j'ai la vague impression que ça va se finir en queue de poisson! Et, je vous demande d'avance d'excuser mes multiples guillemets pour illustrer mon incapacité traître de m'établir sur une couleur, ou une autre pour teinter une réalité!

Je trouve difficile d'arrêter un jugement sur une situation, sur des gens, sur une réalité.  Les choses en fait, sont en constante évolution. Par exemple, on dit des "jeunes d'aujourd'hui" qu'ils maturent moins vite que dans notre temps où à 18 ans ont étaient en logement, avaient une job, au CÉGEP, en couple, ect...et qu'aujourd'hui sont encore chez les parents, ne savent pas cuisiner, ne font rien dans la maison blablabla, on oubli que d'un point de vue d'ensemble, nos parents ont surement dit la même chose car eux à 16 se mariaient, achetaient leur maison, et avaient une job "pour les 50 prochaines années"...Leurs parents aussi ont du avoir la même réflexion quand eux à 14 ans avaient déjà 5 enfants...

Dans le même sens, je ne m'implique que très rarement dans les conversations de grand groupe, car celles-ci ont le tour de sombrer littéralement dans un flou vide où se côtoient idées préconçues, préjugés mesquins, et malheureusement on oubli la personne dans son individualité propre à elle (sa réalité économique, son bagage de vie, son origine, ses blessures, ses forces, son INTELLIGENCE (bon Dieu, y a pas juste une forme d'intelligence), sa VALEUR...), pour favoriser les "catégories de gens". "LES haïtiens",  "LES juifs" puis le classique *me rappelle des conversations de papa et mes oncles "LES B.S." et "ceuzes" qui vivent dans les HLM", "LES gays", "LES drogués".  Et y en a d'autres. Indépendamment du cercle d'amis, parents, collègues...Ça fluctue. Et, parfois, malgré moi, parce que ça me fâche, de voir des gens vraiment sympatiques se confiner à ce genre de confort-food-conversation, je me retire de la conversation...La dernière où j'ai intervenu c'était sur le sujet de la pollution à cause des bébés, genre que les parents sont ceux qui consomment le plus. (euh.) 

Là. Minute papillon. On prends 2 minutes.

Je suis aussi lasse du discours qui transfigure le monde pixels, où les genres d'intellectuels déterminent que le Québec est mou. blablablabla.  Y a comme je disais, plusieurs formes d'intelligences, et oui, c'est bien d'être capable d'articuler sa pensée, et d'écrire sans faute, d'avoir des notions de sociologie, politique, psychologie et de savoir mettre tout ça ensemble pour déterminer ce qui cloche à petite échelle (je dis à petite échelle car est-ce seulement et juste qu'un voile qui cache ce qui réellement ne va pas, ce qui cause vraiment ce besoin de vide et d'échappement de la réalité, parce que oui, les gens sont foutrement malheureux et ça moi, c'est ÇA qui me cause problème AVANT de savoir si les gens sont instruits, font des fautes, ou sont noirs, ou Québécois mou-ou-dur).  Je crois que c'est beaucoup plus loin que ça, c'est aussi avoir la capacité de réfléchir par soi-même...Et ça, je sais que c'est pas donné à tous, ça prends une môtadine de bonne boussole pour naviguer soi-même dans les méandres possibles et des transactions neurologiques; l'univers est vaste.  Je ne dis pas non plus qu'il faut être 100% en accord avec l'état de notre société, avec sa forme et sa façon de fonctionner.  J'ai bien hurler des centaines de fois...Fuck la société! 

Pourquoi le monde en est là?  Soporifique people? anesthésie générale ? 
 
 Pourtant je connais tout plein de gens qui se questionne tout d'abord sur eux.  Sur les façons d'améliorer leurs part dans ce système.  Tout plein de gens qui avec *ce que nous on pense avec notre sacré sainte pensée* leur peine et leur misère, mais eux se crois tout plein de force et de caractère; foncent et entreprennent des grands changements dans leur vie. Se débattent avec des démons, des passés trouble d'incestes, de violence, d'envie de suicide, de tout stopper là car se battre tout les jours c'est dur, de difficulté monétaire, de faible estime de soi, de peu de connaissance de soi.

Est-ce de ces gens là que l'on parle quand on dit que le Québec est mou?
Est-ce de ces gens là que l'on parle quand on dit "y avant des coquerelles c'étaient des haïtiens"

Où y a corrélations faciles, c'est peut-être réconfortant. Mais ça change pas grand chose.

Apprendre le savoir vivre, le savoir-être. Avant le savoir faire. Car c'est bien beau garocher notre savoir faire "din" yeux de tous et chacun dans le monde pixels, autour d'une table, c'est bien beau lancer des phrases toutes faites (passées de générations en générations) afin de remplir le vase-vide- communicant. afin d'avoir l'impression friendly-user que nous on sait de "kossé" de comment ça marche, établir des schémas de pensées et se faire (nous faire) l'accroire que on est l'élite car on a un facebook, un twitter, un Google + fake t'sais veut dire.

T'as rapper dans l'vide.

7/06/2011

Brève écartelée.

Les mots que tu me glissent entre les cuisses;
descentes de rapides interstellaires, 
inondant rives et lèvres
se jouant des peurs et sortilèges

Les mots que tu me glissent entre les cuisses
précieux jets, ancre.  
à même ton enfouissement
à même mon évanouissement.
 


All We Ever Wanted Was Everything

All we ever wanted was everything
All we ever got was cold
Get up, eat jelly
Sandwich bars, and barbed wire
Squash every week into a day

The sound of drums is calling

The sound of the drum has called
Flash of youth shoot out of darkness
Factorytown

Oh to be the cream
repeat
 
 

7/01/2011

Oups.

Une personne (peut-être deux) passant l'entrevue pour être animatrice-intervenante sur Recyk-l'Art est tombée (par pure et trouble curiosité) sur MON blogue.

Jeeez. 

Je devrais peut-être retourner à la poésie.  

C'est dangerux (wi wi RUX) les méta-zétas de l'âmes.

(en plus y a pas un chat, à par sieur Hell et mon chéri love-trémas qui me lit  fallait vraiment que ÇA arrive.)

6/27/2011

rien de change, sinon l'appareil!

j'aimerais tous vous souffler l'air qu'y a dans mes poumons. 
Mais y aurait risque d'évanouissement trépas. Alors. Nous.


Irons dîner.

Oh. J'ai écris à une amie, que je me devais de faire semblant d'être bien et de ne dire que les belles choses m'arrivant, car quand même, il y en a tout plein de belles choses. Elle a dit...Et c'est bien la première qui me le dis..."Si tu vis quelque chose, et que ça t' habites...tu DOIS le dire, en parler, voyons, je suis là pour ça."

God. Ça m'a fait du bien.

Je ne suis pas de ceux qui font semblant. Si je ne te pif pas, je ne te cause pas.  Un point à la ligne. Rien de plus, rien de moins. Comme dirait mon ancienne patronne; "What you see, it's what you get."  je suis conditionné à être transparente. et si je choisi de t'écouter man, bien m'a t'écouter jusqu'aux portes des ténèbres, et j'aurais même pas peur parce que j'ai décidé de t'aimer.

Un espèce de love planétaire universel.

Sauf si tu me fais chier. qu'intentionnellement tu me frappes la joue.  Je ne tends pas l'autre. No way.  No fucking Jesus law.  Et, ma patience est immense, comme mon love machin. mais je ne suis pas aussi folle que ça!  Et, à peine le pied dans la quarantaine, que je me rend compte que ça ne passera plus jamais. Never!  intimidation, manipulation, sermon; non merci!

bon. oké. me reste juste à le dire. heu. ouin. la meilleure partie, celle où je chie dans mes petites culottes!  mais bon, je vais attendre. c'est pas aujourd'hui cette putain de rencontre là.  Elle est même pas sédulé. puis je n'y serai pas seule. je vais juste, continuer à me parler.

Me semble qu'on a une bonne communication moi et moi.

*oh et si je peux dire quelque chose à mon papa, là-haut, deux secondes... "Hey! P'pa! Ça ne te tentais pas de me dire que j't'ai belle, pis bonne pis capable quand j't'ai p'tite ?" ...Histoire que je trouve que je suis belle avant mes 30 kek ans. parce que je me suis trouvé moche tout ce temps.

6/21/2011

quelques lignes

parfois l'égo prends toute la place, puis la machine se détraque, quelque part entre des envies puériles et des guéguerres vaines; on mise par abstraction de nos valeurs sur des gestes qui sur coup enterrent les cris donnent impression de pouvoir remplir le vide donne l'avantage numériquement à la limite chimiquement mesurable d'être plus grand.  


Z'appelle ça, le transfère de souffrance.


le problème, c'est de risquer de se perdre.


Toujours, regarder à la source.  


Je sais ça fait new age, mais, derrière tout émotion, y a un  besoin...S'agit de creuser.

ok. Alors, s'il vous plait. n'entrez pas dans la danse, y a du verre partout par terre.  

et que sont nos égos face à ce qui est tellement plus gros, plus beau, plus important...La vie.


Venez contempler l'eau 'vec moi.



6/14/2011

compulsion compensation ou la bouche pleine de chocolat...

l'étau le vide le caramel l'arachide le plein le sucre l'espèce en voix d' instinction l'hypocrisie
no more compassion
rires flambés nucléaire war besoin boire vide pastel crier l'absinthe  toujours l'hypocrisie
où est passé toute la supposée reconnaissance dans les oubliettes ? dans tes chiottes ?
Les regarder dans leurs tâches de tout les jours comme tout les jours
devinez quelle oreille détournera les yeux quand ce sera eux
goût de faire pareil
des envies de rendre l'appareil
des pensées de partir
je sais que les derniers textes, les derniers détours imbibés des mêmes écrits.

C'est la chansons qui joue alway's in my mind.


on se demande pourquoi les gens sont tristes, pourquoi ils se sentent vides. Pourquoi tout va de travers. pourquoi y a autant de souffrance.  puis on essaie de bien faire. on essaie de faire le bien. la programmation différente de celles des appareils déjà établies comme normes, puis on se pète la gueule plus souvent  qu'autrement.

j'ai plus faim. le chocolat me tombe sur le coeur.

Je ne veux pas entrer dans le jeu.

puis je vois ce qui joue ailleurs, dehors, dans la VIE et je vois que c'est pareil.  On coupe les dépenses pour les plus démunis, et on investi dans du matériel.  Le paraître. au détriment de l'être.  et quand je vois une collectivité d'inquiété de son fric; je me demande moi, qui va s'inquiéter de la dérive des âmes.  

...croire au diable, je me dirait qu'il se fait bien des âmes ces temps-ci.

6/02/2011

Oublions tout ça.

Je n'arriverai jamais à être, à faire, à vivre comme tout le monde, comme la majorité du monde, comme ceux qui font semblant, parce qu'en fait PERSONNE (je crois) n'arrive à vivre comme du monde comme tout le monde comme taire les envies et vivre de faire.

Je n'y arrive pas. Je peux pas (je ne sais pas) (je ne veux pas) avoir un mode de vie équilibrée avec un horaire stable et des repas entièrement sains comportant tout les groupes alimentaire; servis à des heures fixe, dans une cuisine aseptisée dans un logement parfait, avec des enfants-sages des enfants gagent que je suis une parfaite petite maman. Je n'arrive pas à bouffer la merde qu'on me sers au précepte de la hiérarchie hypocrite, les violences-précellence qu'on m'oblige à prendre, les silences-couperets, les regards accusateurs, les sous-entendus qu'on devine à tue-tête.

Je sens que je fite de moins en moins.

Je vieilli.

Et j'essaie de sauvegarder ce que j'ai de meilleur. Mais.

Je n'arrive plus à gérer les couches de sources d'anxiété qui se foutent de ma gueule en se pitchant sur moi, une à une, demandant son moment de gloire pendant que moi, tout doucement je perds les pédales et engueulant mendiants sur ma rue et chauffard.

Je me surprends à avoir envie de Xanax. De "végétitude" aiguë dans la cour allongée dans une chaise longue, avec le vent dansant sur ma peau et le bruit des feuilles flirtant avec celui des oiseau. Pas de livre. Pas de musique. Le silence-orbite. Mes yeux rivés au temps qui passe.

S'avez, je me bats ongles et dents, vent et sang. Je fais valoir mes droits. Droits à la différence, à être celle que je suis avec mes forces et faiblesse. Essoufflant et éreintant. de ne pas se fermer la gueule et dire haut et fort ce que tant et tant étouffe sans cesse. Car je ne pense pas être seule à souffrir... À vouloir vivre...

J'arrive pas à faire semblant que je vais bien.

Mais parfois, je me surprends et. Moment flasque où je pense ne plus pouvoir. et à ce moment, et seulement qu'à ce moment et d'un souffle, je me redresse et cherche moyen sauvetage. je ne me laisse pas emporter. Ne pas abandonner et continuer. Syndicat, psychologue, soutien des collègues, mon chéri, les amis, les enfants...Je me sers. Et, pour vous...Pour toi...

Je continuerai. n'ai crainte. je continuerai.



(Maudite vie montagne russe, je vous ai dit je souffre de vertige.)


(je ne vous ai pas parlé de la paperasse. Des fonctionnaire de l'âme. et encore une fois je sens trop que je ne dis pas vraiment. qu'à côté de frôle le message. que je tais un peu ma colère.)

Skinny Puppy- Cult

A lasting moment
To hold onto
With regret
The scent of time
Tried and tested
I never noticed
The phantoms of her mind

Cresent moon I'm cutting through
Paste up warnings fill the sky
Smoking embers I remember
Time and time again to try

To live I light
To sink within her
I think of light
Time to blame
To borrow from your past
Elapsed
Collapsing

She's not insane
She's gone insane

And if the root of silence pulls me off
And love is lost not from my heart
I sit upon this throne that throws me off
And she falls backward to the floor
And forward to the back

She says elapses all my truth again
She's the one I live for
I live alone

Burns inside horilbly
She lifts me to the spirit
Burns the darkest hours
My corrupt brain is hurting

Once again the door lies quiet
Left alone
I'm thinking of her
Sitting the burning clock of time



5/31/2011

brêve. Part ché-pu-quoi

j'ai mis des talons hauts ce matin, avec des dentelles et un bracelet de cuir, hi ligner et mascara. Je suis prête, je remarcherai finalement à travers le champs de mines. Je n'y vais pas seule. Au moins y a ça. Si je m'éclate une jambe ou la moitié du visage; d'autres seront témoins, et ce n'est pas seule que j'arriverai à l'hosto.

Je vous ai dis que de la fenêtre de mon bureau, y a des bruits d'oiseaux et un doux vent léger ?

Oh! j'ai tombé sur ça et je suis hypnotisée.

Comme quoi tout est une question de perspectives.

Y a ça aussi qui est apparu sur mon mur de facebook. Y a rien à en dire. Juste à savourer les accords comme on fredonne combien ça goûte bon!

J'ai fermé mon compte Twitter. Parler dans le vide. je le fais assez avec mes ados! Et comme je ne suis pas grand chose dans toute l'univers, et comme je n'ai pas le temps d'avoir des opinions, comme je ne suis pas indispensable à l'univers des médias sociaux que je n,ai rien à apporter de plus que y a déjà tellement que j'en perdais en fait bien trop le nord.

Et comme si quelqu'un quelque part s'ennuie de mes inepties!

(Trop d'information, ne crée pas plus d'intelligence.)

Mon tatouage avance. 4 fraises pour mes 40 ans. des hirondelles pour les années qui s'envolent, pour les chaînes aussi qui tombent, des fleurs pour tout le bonheur présent et à venir, surement des étoiles pour le rêves..LES rêves. toujours, rêver.

Je vais bien.

Pour ceux qui me suivent sur Facebook, je cherchait une formule de politesse pour terminer une lettre...
" Cordialement", m'a semblé bien de mise, et pas mal assez poli pour ce que j'ai envie d'être. polie, je veux dire.

M'en va me taper une tonkinoise sur Beaubien, à deux pas de chez chéri, avec chéri.

5/22/2011

avoir et être. congugaison et funambulation

Entre. coincée. légitime défense. verbatum agréé. un gain qui sent bon l'herbe fraîchement coupée. croire encore que l'on a 20 ans. depuis 20 ans. le rouge. puis l'aiguille. ça pince mais c'est beau. entendre et s'étendre. te mettre encore des mots dans la bouche. tes trémas tes mains ta peau tes sueurs froides tes nuits blanches tes jours avec tes jours sans mes jours sang ma langue mes bras mes gémissents mes soies. énumération. congugaison. quelque part en fines lamelles. découpée. gorge tranchée. mais les mordre encore. conscience aquatique. presque personne. dans. les échos hybridation et moi. dans. les trop. mesure exacte simultanée. un état donné connu peut donner aléatoirement une valeur prise dans un ensemble de résultats possibles. qu'ils disent.

5/04/2011

refuser de jouer.

Taire le sonore qui
(avant que)
pendant que les images
Gavent les subconscients
de la foule anémone:
ne gicle d'absolu
ni ne partage son malaise
l'abstraction benzoazépine

(entendre trop souvent fort
son nom dans les couloirs)

comme renforts;
jeux jeun pixels contrefort

active dans des
paramètres confort

soumise comme quand l'eau qui dors

remixer l'étau
sarcophage



promesses fragiles osmoses
encore convaincues et tactiles

où sont les
âmes de ceux qui, perçant le mur
capture et assèchent rivières

trop de mauvaises nouvelles sales,
les
forgerons s'activent en mon crane
tombe d'un vain et névrosé piédestal
sur le socle, quête inachevée
s'ébranler vers le mieux risque
à
s'échouer sur les rochers coupant et
sanglant des autres apôtres.





4/28/2011

force de constater (binkin. je fais dans la texto-thérapie et alors?)

hé oui. constater. puis prendre du recul. puis vraiment comprendre. avoir le feed back des autres. aller chercher de l'aide. je crois, la partie la plus difficile. accepter le besoin et aller le combler. heille. t'sais quand tu joue à la plus forte, que tu as : tenue à bout de bras montagnes qui ne voulait pas venir à soi, transfusé de ta force à tellement d'âmes érrantes, absorbée plus que la dose de coups, blessures, équimoses et venin (t'sais le long fleuve supposément tranquille qui en fait ressemble plus à un reflu d'égoût)...on peux-tu dire que ça SUFFIT ?

Oui. ça SUFFIT.

Je n'accepte plus. je ne VEUX plus accepter. puis manger mon bol de marde, soumise.

Bon. Avant. si on recule far far lointain.

j'étais pas soumise. j'ai combattue. fort. fort. mais c'est intense s'avez. (quoi qu'y est intense ?)

le harcelement plsychologique.

oui. là je ne veux plus accepter. tolérer.

ça me rentre dans le plus profond de ce qui j'ai de plus précieux; moi. je suis la seule chose sur laquelle je peux compter. et comme, j'ai pu toujours (avant) compter sur des réserves immense (t'sais comme le ciel qui s'étends à perte de vue) de joie, de capacité à ressentir le plaisir, à m'éclater de rire, d'avoir envie de sucre et de savoir passer à travers les jours anémones sans en perdre de vue les fudeaux horaires. oui avant.

là après plus ou moins 2 ans.

je craque.

tout d'abord, je me suis mise à agir comme un esclave soumis. puis, de plus en plus la colère devenait de la rage, plus des pleurs silencieux. puis pendant les fêtes j'avais mal juste à marcher lentement, mon corps me fesait mal terriblement mal. puis l'envie de m'anestésié. de m'échoir; évanouie, translucide.

grâce à mon nouvel ami.

Anxiété (n.f.)


1.inquiétude, angoisse psychique.
2.trouble engendré par l'attente craintive de quelque chose ou de quelqu'un, les soucis, l'incertitude du lendemain.

Anxiété (n.)

1.(Cismef)État affectif de caractère déplaisant à type de peur intense qui s'accompagne en règle de symptômes neurovégétatifs, spasmes, dyspnée, tachycardie... et qui se produit en réponse à un sentiment de menace imminente.
2.(Cismef)Peur d'un sujet devant un danger réel ou imaginaire.

puis la houle (le plancher qui gondole (oui oui really) chaque matin quand je fais ma routine avant de partir travailler), la nausé, les sanglôts (que je tente de camouffler sous la douche, dans l'oreiller, pour ne pas allerter mes enfants)...chaque matin, chaque instants même en ce moment une lourdeur dans mon ventre, sensation de pesanteur au niveau du plexus. quelques moments de répits quand je suis entourée de gens que j'aime (les amis, les enfants, l'amoureux).
oui. j'ai été chercher de l'aide. depuis 3 semaines je vois un psy.
mission. trouver les armes, les moyens, des solutions, pour ne plus ressentir ces malaises, qui en fait de M'APPARTIENNENT PAS.
JE NE SUIS PAS RESPONSABLE.
c'est pas moi qui ai fais quelque chose pour mériter d'être traitée ainsi sur mon milieu de travail.

des exemples de ce que j'ai eu comme commentaires ? des situations ? ce qu'on a pu me faire ? me dire peut-être plus tard. si c'est vraiment utile ? Ché pas.
ce que je sais c'est que j'ai fais du mieux que j'ai pu, que je peux, avec mes connaissances, mon coeur et mes capacités. et je fais bien ce que j'ai à faire.

je suis la plus importante personne pour moi.

et c'est pour ça que je suis en congé aujourd'hui, et demain, et vendredi et lundi. je dois refaire mes forces, pour naviguer librement et sereinement dans les eaux où j'ai le mandat d'opérer, et où j'aime être. car oui. j'aime toujours mon boulot.

4/07/2011

hope, war is over

vivre tant et tant les salves feu crachats venin et croire que l'amer se trouve qu'au bout du couloir, puis s'apercevoir que sans crier gare des fracas de vitres se sont glissés sous les habitudes et dans les endroits collectifs, en ce que je croyais être plus qu'une parade poche du lundi au vendredi no vacancy. pour vrai. constater qu'il est trop tard pour recoller ce qui s'éloigne de soi, anyway.

juste désolant.


De regarder ce qui en fait n'est qu'un feu de pailles corrosifs, et de se retourner et marcher loin. très loin. de ce qu'y promettait tant. j'y ai crue.

un deuil d'amitié, ça fait gris aussi.

4/04/2011

notes à moi-même

Faudra bien un jour, que j'écrive combien ton rire fracasse instantanément toutes les barrières méta physique entre l'air ma peau et le creux de mon ventre. Combien doux me sont ces envolées planétaires quand je pose ma tête contre ton épaule et le temps qui défile m 'importe peu car je suis engourdi de tes effluves marins. combien précieuses chaque minutes chaque secondes passées à te tenir la main à m'abreuver à ta source à me trouver terriblement chanceuse de partager ta vie.

Oui. Faudrais bien mais j'ai bien peur que pour vous ceci soit d'un ennui mortelle, que je ne réussisse qu'à dépeindre une pâle copie de mes sentiments pour mon Mao Boy, et de peur de froisser les paupières nacrées de l'aube pâmoison, je me tais un peu, car le silence porte en son sein, un peu de tout ce que je te réserves quand tu plonge en mes trésors.

Je t'aime.

3/23/2011

promesse bactériologique

guerre de rétroviseurs
atomes particules. sur la langue.
génocide digestion, moi je tente
la main dans le sac de ne pas
trop ingérer gémissements et maux
de ventre. il était temps que cesse
violents vent violet victimisation
reprendre tour de contrôle
à bout de bras. sauter puis fendre
air mers temps tâches feintes
comme rien n'affecte tout se perds
les rides semences on s'en doute
commencent. stratosphère outrée
catalyseurs névrosés comble du malheur
on recule, puis on avance l'heure.

Dans 2 mois, je saurais surement.

3/18/2011

y a comme un embouteillage dans ma tête.

des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide des mots le vide

3/05/2011

brève.

Après 7 jours off. Après une relâche riche en rires et en cyprine, en folies de kids, de remise en place d'ados, de bouffes et de dodos en cuillière. Une pointe d'anxiété face au retour au travail.

Une chose reste certaine.

J'aime encore mon boulot. Mon rôle et la place que je tiens dans l'univers platique des gens ésseulés. J'aime être en action, et pour répondre à mon amie Zozée; je me vois encore là, et je suis stimulée par le défi encore, et quand elle n'est pas là, je me sens survoltée et je sens que j'ai quelque chose à apporter.

C'est sur ces choses que j'essaie de focusser.

Merci Sébastien pour tes bons mots. Je me rends bien compte que me taper sur la tête ne sers à rien. Ne mène à rien. ça arrive à tout le monde.

Je marche juste un brin plus lentement.

Merci Patounet...Mon amour de koala en chocolat. T'es là.

Un brin drama queen. P't'être. On m'a dis ça un jour. Mais mon non-équilibre équilibre, je l'obtiens grâce à ça. C'est toute. pis c'est comme ça que ça c'est ça. Comme je disais dans mon sommeil quand tu m'as apeller!

Lundi matin,

prête pas prête,
j'y vais.

2/20/2011

surestimer

Aurais-je surestimer ma capacité à gérer les assaults vicitatifs et vivieux venant de la porte voisine de celle de mon bureau?

être prise entre des choix qui ne ressemble en rien à ce que moi, je me f'sais comme idées sur ce que un choix est. congé de maladie, plainte en bonne et due forme aux normes du travail, grief ?

Tenir bon jusqu'au 25 février. voîlà ce qu'on m'a recommendé.

après on se sort la tête hors de l'eau. on respire un coup.

on voit ce qu'on fait.

1 semaine.

je suis fatiguée.

1 semaine.

ça semble une éternité vers un nul part incertitude.

j'interviens avec des jeunes femmes, (entre autre) qui essaie d'apprendre à s,affirmer, à prendre leurs places, à détecter les gestes d'abus, de violence envers elles. Et, je suis là. à ne plus m'indigner...à ne plus répliquer,

à encaisser et fermer ma porte. à rager seule et à sentir mon coeur dur comme une roche, tendu comme un arc avant le bris. ça fait mal. physiquement, je veux dire.

moralement et psychologiquement. j'ose à peine en parler tellement.

Lers idées qui passent. pensées victimes rouge destruction promenade vierge gémir puis détruire arracher rouge déchirer rouge crier blanc rien lamentation vide sens ambigue comme des faites ce que je dis moi je sais pas faire pis ça me rends folle car j'ai déjà tant fait pourquoi d'autre ne se lêvent-ils pas pour. aider moi. puis je sais. je sais que c'est comme ça. rien à faire.

puis me demander ces inlassables pourquoi. j'aimerais vous dire tout. j'aimerais comprendre. arriver à go et réclammer le 200. repartir sur un autre tour et continuer à fabriquer des rêves, faire en sorte que se recycles cassures en armatures, pour soutenir réalisation et maison.

je sais.

je.

se sentir responsable de tout.
s'indigner haut et fort et construire.

n'ai plus la force.

je trouve lourde ma pince à épiller, et ça me prends des breaks entre deux trois sourcils.

S'avez, j'ai toujours restée debout devant l'adversité. toujours battante et combattante. S'avez j'ai mangé quelques coups oui, mais en suis sortie pas mal fière de moi. intense, je sais, je suis mais.

Là j'ai honte.

vraiment honte.

je suis fatiguée.

je ne veux pas m'éteindre.



je suis vraiment désolé.

2/08/2011

liste d'épicerie

identité validée par le cercle des fermières de dentelles et de cuir...
espace fragments génocide, oui encore.

Je sais.
Les temps technologies où surchargé de terminologie on souhaite la lobotomie
vandalisme.


Offre-moi encore
Les plaines où je peux savourer tes épices celtiques
Demande-moi encore
Mes églises gothiques pour te recueillir en le sacré

parfum d'encore. Mirage de sel marin.


(je me moi contre tu te toi)


Le tellement prends son essence à explosion multiplex orgasmex
cataclysme.

1/14/2011

inepsies sous-marines

calculer le coefficient désastres ovules nucléaires piétiner les masques bioniques d'horreur sismiques anéantir survoltage des flottes aéronavales bitume à l'entoure blancs soupirs vêtue.

chut.

Si je vais bien.

Oué.

tu le sais. c'est l'arrivée des âges. c'est juxtaposé à la tyrannie claquements de ses talons dans les couloirs longeant mes périples à essayer de sauver le monde.

je veux :

Écrire des poèmes
Peinturer mon salon
boire des cocktails maison
te dire plus souvent "mon amour"

Je suis si heureuse.

Alors. encore plus dure à gérer ces moments de lourds orages dus à une incapacité à jongler avec des couteaux. incapacité à recevoir l'haleine fétide de l'assoiffée de destruction. t'sais diviser pour mieux régner.

Je me répète encore. pour mieux vivre.

Je suis si heureuse.