4/07/2011

hope, war is over

vivre tant et tant les salves feu crachats venin et croire que l'amer se trouve qu'au bout du couloir, puis s'apercevoir que sans crier gare des fracas de vitres se sont glissés sous les habitudes et dans les endroits collectifs, en ce que je croyais être plus qu'une parade poche du lundi au vendredi no vacancy. pour vrai. constater qu'il est trop tard pour recoller ce qui s'éloigne de soi, anyway.

juste désolant.


De regarder ce qui en fait n'est qu'un feu de pailles corrosifs, et de se retourner et marcher loin. très loin. de ce qu'y promettait tant. j'y ai crue.

un deuil d'amitié, ça fait gris aussi.

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