4/04/2011

notes à moi-même

Faudra bien un jour, que j'écrive combien ton rire fracasse instantanément toutes les barrières méta physique entre l'air ma peau et le creux de mon ventre. Combien doux me sont ces envolées planétaires quand je pose ma tête contre ton épaule et le temps qui défile m 'importe peu car je suis engourdi de tes effluves marins. combien précieuses chaque minutes chaque secondes passées à te tenir la main à m'abreuver à ta source à me trouver terriblement chanceuse de partager ta vie.

Oui. Faudrais bien mais j'ai bien peur que pour vous ceci soit d'un ennui mortelle, que je ne réussisse qu'à dépeindre une pâle copie de mes sentiments pour mon Mao Boy, et de peur de froisser les paupières nacrées de l'aube pâmoison, je me tais un peu, car le silence porte en son sein, un peu de tout ce que je te réserves quand tu plonge en mes trésors.

Je t'aime.

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