12/06/2011

écrire de l'intérieur.

Je ne suis pour. je ne suis contre. je vague à quelque chose entre la constatation la vexation le chagrin la révolte. j'ai envie de crier toutes vos peurs tous vos préjugés qui grugent tels des mites le tissus social.

J'ai eue envie de m'ouvrir un autre blogue histoire de

raconter mes frustrations/toucher couler des paquebots pixel.

noir. blanc. où j'ai bien pue mettre mes pastels?

retourner sur wordpress ? hm. ça fait longtemps.

recommencer. comme un nouveau départ.

fuck it. j'ai laissé tomber/ à quoi ça sert. l'idée n'a tenue que le temps de me faire un shampoing/mes cheveux sentent bons.  j'ai laissé faire. paresse ? je ne crois pas. je me suis juste demandé ce que ça ajouterai à l'univers/conscience universelle.

bah. oui. des fois, ça me dis moi, la conscience universelle.

Quand j'avais 20 ans, c'était au coeur de toutes mes aventures la foutu conscience universelle.

oui oui. je te jure.

Qu'est-ce qu'on en à foutre de mes sphincters/frustrations.  Les reflux et reflux de mes marrées/j'en ai assez. 

(je tripe à faire des "slash")

je ne sais plus pourquoi j'écris. je trouve mes idées flasque/mon ventre aussi. et en même temps, j'arrête pas d'écrire dans ma tête/et j'oublie le concept. je me refuge dans l'idée. le sentiment. l'étang/les poissons. moins sur le papier et de plus en plus dans mes pensées.  moins sur terre/plus en plus se taire.

Et si les pensées de tous s'échappaient des têtes pour vivre à quelque part. c'est surement là. la conscience universelle. et si tout les papillons s'unissaient... ce serait peut-être là, le foutu dome.

et je crois que ces temps-ci il doit faire assez froid et noir dans la conscience universelle (parce que même si je ne lis pas les nouvvelles/écoute pas la télé; je LE sais.

je me dois de penser clair et chaud, de voir plus loin/de rejaillir des iotas de mauve. et ce même si mon corps entier me fais parfois si mal que je suis fatigué d'habiter aussi fort à l'intérieur de muscles et de chair. 

je pense encore à bien aiguiser mes crayons intérieurs.

je me sens toujours responsable de décorer l'universelle. conscience.


-17h02. Juste avant de quitter. Hé oui. je voulais intituler cette petite chose : "les-différences-qui-offensent-soutrager". Mais avec le recul. Presque 1 semaine entre le désir d'écrire, et le fait de. ma pensée a muée.  j'avais pris la résolution de choisir mes combats. et je vais laisser à d'autres le soin de s'offusquer aujourd'hui. mais ...

néanmoins, j'ai eue envie, aujourd'hui. d'encore plus fort vous aimer.

3 commentaires:

  1. Excellent ton texte ! Tellement senti ;-) !!
    J'ai vraiment adoré !

    Et beaucoup aimer cette image "je pense encore à bien aiguiser mes crayons intérieurs."

    Bravo !

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  2. Bien dit.

    Ces temps-ci, je pense plus foncé, ça tend vers le noir. Mais les mots manquent. Le reste, non.

    Désolé qu'on s'est manqués la semaine dernière: trop de gens, pas assez d'heures.

    Mais bientôt, mon avenir ne sera plus garant de mon passé; ça va se replacer.

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