l'intense roi quelque part entre le beat des arithmétiques cardiaques et la sueur des phosphorescentes déviances mes cris mes pleurs ton odeur calfeutrent l’immonde l'indigne sacrilège des pentes descendantes à quand m'as tu dis les sens envahissait l’Autriche à quand ose tu croire que mes sanglots dévalant ce qui nous reste de temps sur l’oreiller iront-ils se perdre au détriment de mes cuisses encore engourdis de tant et tant d'attaques je ne sais plus peut-être me suis-je un peu tromper
je n'ose plus
croire à l'éclairci des doutes au bleu des autoroutes à un possible paisible depuis toujours mes champs de blé sont parcourus de Perses et d'averses depuis la nuit des temps que je raconte fièrement toutes ces coupes à blanc et ces viols de ma chatte et de mon âme des coups portés à mon visages des trop plein rivés à un mort rivage et tout ce monde a sauver et tout les yeux quelques part vides espoirs je les ai enfantés nourris à mon sein aujourd'hui flasque et vide
et j'ose
espérer un étrange vent de changement des fleurs dans les cheveux des disques avec des musiques comme quand j'étais petite danser le rock and roll et rire jusqu'au sommet des croisements tomber d'épuisement et rire encore dans le coffre à main trouver la certitude et le trésor le pendant et
vouloir
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