6/03/2012

les mots éclairs blanc sur fond cognitifs de tes allées et venues comme des bang bang salés donc rapidement j'ai pris goût à tes rumeurs caustiques expirant enfin tout l'aube dont jacinthe encore captivait l'autre moitié des draps encore propres.

Je ne sais plus où tout ça se situe.
je voudrais tant écrire un roman.

Entre mon verre de diète liqueur et le parfum encore sonore laissé en bagages pour un allée simple de ton lit à la promesse, de ta peau à ma carte du ciel, de nos rivages embués de vierges contrées...Je dis ces choses qu'on tait par crainte de secousses sismiques, j'entends les chairs de poules dévaler le continent. 

je parle encore tant dans mon sommeil.

c'est quand tu élabore tes plans machiavéliques entre mes chairs que je perds boussoles et repères, alors dans ma tête s'éclaboussent symphonies poèmes rimes et Voltaire. Alors, toi, entre mes cris et mes ruisseaux, tu t'agrippes à ce que j'ai de plus fort, de plus véridique pour d'avantage jeter nos mots sur les oreillers.  Toi seul sais souffler Médusa hors de moi.

il devrait avoir une suite à tout ça. 

 je sais, tu me l'a dit.

1 commentaire:

  1. La vie semble s'étaler entre amour, repas et soupirs, tous accompagnés de souffles plus ou moins tenaces selon leur nature. Merci pour ces mots.

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